En Israël, j’ai rencontré des juifs d’Irak et de Syrie.
Ils m’ont tous raconté leur Nakba et comment ils avaient fui la mort qui les guettaient dans les pays où ils étaient nés.
Du jour au lendemain, ils ont tout abandonné, en laissant derrière eux leurs maisons, biens, boutiques, entreprises, ateliers, patrimoines et souvenirs.
Ils avaient tout bradé pour partir vite avant que ce soit tard, de peur qu’ils soient coincés.
Arrivés en Israël ou en Occident, ils ont reconstruit leur vie, dans la douleur et la pauvreté.
Certains m’ont raconté leur vie dans les campements de fortune. Israël n’était pas encore construit, un nouveau pays qui naissait, il n’y avait pas de logements sédentaires pour tout le monde.
Après les vastes et belles maisons d’Irak et de Syrie ils vivaient dans les tentes et dans la boue.
Fini les campements de nouveaux arrivants, petit à petit, ils ont reconstruit leur vie et leur pays. Ils ont tout recréé à nouveau. Tout rebâti. À partir de rien, sinon le soutien d’un état qui tient à protéger ses citoyens.
Ils sont désormais des citoyens à part entière. Et depuis, aucun d’entre eux, que ce soit en Israël en Occident ne se sent, ne se définit, comme un réfugié.
Quand vous voyez une certaine Rima Hassan, comme des milliers d’autres palestiniens pourtant naturalisés en Occident, et parfois depuis des générations, ils sont encore et toujours considérés comme des réfugiés palestiniens par l’UNRWA.
En réalité, certains de ces soi-disant réfugiés palestiniens – parfois aidés et soutenus par des ONG corrompus comme l’UNRWA – ne font que perpétuer leur statut de réfugié, et donc de la victime, pour marchander et monnayer « la cause palestinienne » tout en attisant la haine d’Israël et des juifs et en soutenant le terrorisme.
Leur statut de réfugié est surtout basé sur des mensonges. Car contrairement aux Juifs du Moyen-Orient notamment qui étaient obligés de partir, ce sont les gouvernements arabes qui en étaient la cause : d’abord en attisant la haine de juif et ensuite en leur demandant de quitter leurs maisons (volontairement) le temps qu’ils (les gouvernements arabes) « chassent les juifs ».
Beaucoup de e ces habitants n’avaient pas été chassés. Ils étaient partis de leurs propres chefs. D’autres avaient décidé de rester. Ils sont aujourd’hui des citoyens israéliens. `
En fait, ces « Palestiniens » comme leurs soutiens imputent l’échec de leur choix aux israéliens au lieu de reconnaître les fausses promesses et les erreurs des dirigeants arabes de l’époque. Si au lieu de la haine des Juifs ils avaient accepté l’idée de coexistence, ils n’en seraient pas là aujourd’hui.
Ils n’assument rien.
Et le pire, ils ne font rien pour avancer dans leurs vies. Ils ont passé 76 ans à transmettre le statut de réfugié de père en fils, avec un discours de haine. Ils veulent récupérer une Palestine qui ne leur appartient pas, du fleuve à la mer. Autrement dit, détruire Israël, le pays qui s’est construit dans la douleur et au prix de dur labour et de sacrifices.
En réalité, les Palestiniens devraient combattre ces discours de marchands de la cause qui ramassent les milliards sur le dos de leur statut d’éternels refugiés.
Il est temps pour les Palestiniens de reconstruire leur vie là où ils sont nés et établis depuis des génération plutôt que de se victimiser
Il est temps pour les Palestiniens qui vivent à Gaza ou dans les territoires d’arrêter de soutenir les terroristes islamistes et la culture de la haine.
Si au lieu des 600 km de tunnels de l’horreur, ils avaient construit des tours et développés les startups, Gaza aurait pu être aujourd’hui le Singapour du Moyen-Orient.
Qu’ils arrêtent d’écouter les marchands de malheur à la sauce Rima Hassan
Merci Monsieur de votre clarté d’exposé. Merci pour votre soutien!