Depuis des décennies, la cause palestinienne a été exploitée par les marchands de la cause comme un outil de propagande, alimentant la haine des Juifs dans la rue arabe, et maintenant, dans les sociétés occidentales. Cette technique, notamment utilisée par des figures comme la députée européenne Rima Hassan et d’autres influenceurs soutenus et probablement financés par l’Iran et le Qatar (?), a vu son impact s’amplifier avec l’arrivée des réseaux sociaux. Les mensonges distillés et les récits biaisés contribuent à alimenter un antisémitisme rampant, alors que la réalité sur le terrain est souvent déformée, voire inversée.
L’Histoire comme source de manipulation
L’un des mensonges les plus anciens et le plus parlant est celui propagé par le grand mufti de Jérusalem dans les années 1920. Il affirmait que les Juifs cherchaient à détruire la mosquée Al-Aqsa, provoquant ainsi un massacre de Juifs. Depuis, cette fausse accusation persiste, notamment à travers l’idée qu’Israël interdirait l’accès des Palestiniens à la mosquée. La réalité est tout autre : Israël permet l’accès à l’Esplanade des Mosquées (Mont du Temple), mais seuls les Juifs doivent obtenir une autorisation pour y accéder, malgré le fait que cet endroit soit le lieu le plus sacré du judaïsme bien avant l’arrivée de l’Islam. Pire, les mêmes Palestiniens, musulmans, voient dans la présence des Juifs dans ces lieux saints une forme d’impureté et de souillure.
Qui discrimine qui dans ces conditions ?
La rhétorique mensongère sur l’expulsion des Palestiniens
Un autre mensonge profondément ancré est celui affirmant qu’Israël chasserait les Palestiniens de leurs terres pour se les approprier. Cette rhétorique, employée par des politiciens comme Rima Hassan, a récemment été utilisée le député Portes pour justifier l’attaque du 7 octobre, affirmant qu’Israël aurait provoqué cet événement pour expulser les Palestiniens de Gaza.
Or, la réalité est tout autre : depuis des décennies, Israël cherche à minimiser les pertes civiles lors de ses opérations, en ciblant uniquement les terroristes menaçant la vie de ses citoyens.
De plus, l’affirmation selon laquelle les Palestiniens ont été chassés de leurs terres est également fallacieuse. En 1948, les gouvernements arabes ont encouragé leurs populations à quitter « temporairement » leurs maisons dans l’espoir de “se débarrasser des Juifs”.
Ceux qui sont restés sont aujourd’hui des citoyens israéliens bénéficiant de droits civiques, droits dont aucun autre Arabe ne jouit dans la région.
La manipulation des images et des faits
Les marchands de la cause palestinienne ont également recours à la manipulation des images pour soutenir leur récit.
Un exemple frappant est celui de Rima Hassan, qui a diffusé une vidéo d’un soldat israélien frappant une Palestinienne, tout en omettant de montrer la séquence précédant l’incident, où cette même femme tentait de poignarder le soldat. Pour ces propagandistes, les actes de violence contre les Israéliens sont légitimes, mais l’autodéfense devient condamnable.
Ce type de manipulation contribue à perpétuer une culture de la haine, ancrée depuis l’enfance dans certaines communautés, et qui tente aujourd’hui de se répandre en France à travers des personnalités publiques.
L’inversion accusatoire
À chaque fois, comme lors des événements du 7 octobre, la riposte israélienne n’est qu’une réponse aux violences initiales des groupes terroristes palestiniens. Sans ces actes de terreur, aucune riposte militaire ne serait envisagée.
Pourtant, les marchands de la cause palestinienne tentent systématiquement d’inverser les rôles : ils provoquent, commettent l’irréparable, puis accusent Israël de se défendre.
Cette inversion accusatoire est au cœur de leur stratégie de désinformation.
Le mythe du “génocide” palestinien
L’un des mensonges les plus persistants est celui du soi-disant “génocide” perpétré par Israël.
Moins de 24 heures après les attaques du 7 octobre, avant même que l’armée israélienne ne réagisse, des figures comme Rima Hassan et la France Insoumise parlaient déjà de génocide, reprenant ainsi la rhétorique du Hamas et de l’Iran.
L’objectif était clair : salir la légitime défense d’Israël avant même que les faits ne se déroulent.
Or, comment parler de génocide lorsque la population de Gaza a été multipliée par six depuis 1967 ? Comment accuser Israël de génocide alors qu’il fait tout son possible pour prévenir les civils lors de ses opérations militaires ?
Il y a quelques semaines, Israël a même permis la vaccination de plus de 1,2 million de Palestiniens. Il est évident que ces accusations sont infondées et ne visent qu’à diaboliser Israël sur la scène internationale.
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Ces exemples ne sont qu’une infime partie des nombreux mensonges propagés pour nourrir la haine d’Israël et des Juifs.
Les marchands de la cause palestinienne ont réussi à gangréner les esprits dans les pays arabes, où cette haine violente façonne des générations entières.
Aujourd’hui, ils tentent d’exporter cette idéologie en France, relayant les propagandes des islamistes iraniens et des groupes terroristes.
La question est de savoir si nous allons laisser des personnalités publiques comme Rima Hassan et leurs alliés de la France Insoumise continuer à répandre ces mensonges et à distiller l’antisémitisme dans nos rues?
Il est crucial de résister à cette propagande et de lutter contre la désinformation qui alimente la haine et la violence.