Accueillie et promue par la République, Rima Hassan aurait pu devenir une voix de paix et de réconciliation. Elle a choisi la haine. J’interroge la complaisance des Responsables politiques face à ceux qui, sous couvert d’humanisme, propagent les discours du Hamas et importent en France les fractures du Moyen-Orient.
Cette femme — Rima Hassan — a été accueillie et adoptée par la France.
Elle avait accès à tout pour devenir une voix de paix.
Regardez pourtant la haine qu’elle répand.
Regardez les mensonges qu’elle relaie.
Regardez combien de jeunes elle enferme dans la rancune, le rejet, le fanatisme — et dans l’antisémitisme le plus primaire.

Et maintenant, imaginez ce qu’il en sera avec les Gazaouis, élevés dans une haine encore plus profonde, nourrie par les mêmes mensonges et les mêmes manipulations, que la France va accueillir — ou a déjà accueillis.
Mille fois, je le redis : cette femme est une marchande de haine.
Et attendez-vous, dans quelques années, à voir les conséquences de ces nouveaux arrivants remplis de rancunes et de ressentiment.
La République a tout donné à Rima — mais la haine viscérale qui la ronge est plus forte encore.
La République nous dira qu’elle aidera ces Gazaouis à s’intégrer.
Peut-être, oui, que certains y parviendront, et je l’espère sincèrement — qu’ils soient les plus nombreux possible à y adhérer.
Mais ne nous leurrons pas…
Combien de “Rima” aurons-nous au final ?
Combien d’antisémites notoires erreront demain dans nos rues ?
Combien de proches du Hamas, physiquement ou idéologiquement, s’infiltreront dans nos universités, nos écoles, nos associations, nos institutions sociales — choyés au nom d’un humanisme dévoyé ?
Car, croyez-moi, pour certains d’entre eux, la haine de la France, de l’Occident et des Juifs prime sur tout le reste.
Imaginez cette haine démultipliée et soutenue, malgré elle, par la République !
Dire cela, ce n’est pas stigmatiser les véritables victimes de Gaza.
Mais il faut oser rappeler que ceux qui parviennent à quitter Gaza appartiennent souvent aux rangs ou aux familles du Hamas.
Nous en avons déjà vu glorifier Hitler sur les réseaux sociaux.
Combien d’entre eux ont depuis “nettoyé” leurs profils pour passer entre les mailles du filet ?
Je vous laisse imaginer.
Dire cela, c’est surtout pointer la responsabilité de ceux qui laissent entrer ces individus au nom d’un humanisme de façade.
Car d’autres solutions existent pour les Gazaouis.
Pourquoi, d’ailleurs, les pays arabes refusent-ils de les accueillir ?
En réalité, nos responsables politiques sont irresponsables.
Ils sont complices et soumis.
Ils porteront la responsabilité d’avoir permis à des proches du Hamas de s’installer en France.
Par naïveté ou par calcul, ils contribueront à faire grandir dans nos cités une nouvelle génération d’antisémites, abreuvés de haine d’Israël et refusant catégoriquement son droit à l’existence.
Mais ne nous leurrons pas : cette haine leur a été transmise depuis des générations.
Souvenez-vous de ce Palestinien qui, le 7 octobre, a appelé sa mère pour lui dire :
« Mère, j’ai tué dix Juifs de mes propres mains. »
Monstrueux ? Oui.
Mais plus monstrueuse encore fut la réponse de sa mère :
« Que Dieu te bénisse, mon fils. »
Fière et joyeuse.
Voilà ce qu’enseigne une partie de la société gazaouie.
Et voilà les enfants de cette culture de haine que certains consulats s’apprêtent à accueillir en France — avec un permis de haïr, et surtout de répandre la haine.
