Qui tient l’agence de presse, sinon la plume des médias occidentaux ?
Regardez bien ce qu’il se passe : Gaza n’est plus seulement un champ de bataille, c’est surtout un théâtre de manipulation. Chaque jour, le Hamas écrit le scénario, et les rédactions mondiales le mettent en scène. Sans broncher. Sans vérifier. Des scripts prêts à l’emploi.
Avant-hier, on a eu droit à une « bavure » qui s’est transformée en « massacre » en une poignée de tweets – et la presse a suivi, sans vérifier, sans douter. Hier, rebelote : on nous parle encore d’un « massacre » près d’un centre d’aide. Et ça, personne ne le vérifie. France 2, la télévision du service public, l’a confirmé. Sans conditionnel. Sans scrupule. Malgré le démenti officiel de la fondation américaine en charge de la distribution de l’aide.
Mais posons la vraie question : à qui profite cette mise en scène ?
Certainement pas aux civils de Gaza, pris en otage et utilisés comme boucliers humains par les milices islamistes.
Non, ce qui compte pour le Hamas, c’est d’étouffer l’aide humanitaire, de la détourner et de la revendre, de saboter tout ce qui pourrait affaiblir leur emprise.
Leur objectif est clair : chaque colis de riz qui arrive sans passer par leurs mains est une défaite pour eux. Alors ils créent le chaos, provoquent des échanges de tirs, et ensuite crient au massacre, en comptant sur les journalistes occidentaux pour diffuser leur propagande sans filtre.
Ne soyons pas naïfs : ils veulent nous manipuler. Chaque titre de journal qui accuse Israël sans preuve, chaque image partielle qui tourne en boucle sur nos écrans, est une victoire pour le Hamas. Ce n’est plus du journalisme, c’est de la communication de guerre.
La vérité ? Elle est piétinée sous les slogans « Free Palestine », « génocide », et toutes les indignations fabriquées par les sponsors des islamistes.
Malheureusement pour la vérité, les médias dansent sur la musique du Hamas. Pas forcément parce qu’ils sont complices, mais souvent parce qu’ils sont paresseux. Parce qu’ils préfèrent un titre choc à une vérité complexe. Parce qu’ils ont perdu le sens de la responsabilité. Du journalisme.
Alors, la prochaine fois que vous lirez « massacre à Gaza », posez-vous la question : qui a écrit cette histoire ? Et à qui sert-elle vraiment ?
Croyez-moi : pas aux Palestiniens.
Visuel inspiré et retouché depuis https://www.instagram.com/j.majburd @JonathanMajburd