La cause palestinienne : une industrie de la haine et de la manipulation
Les marchands de la cause palestinienne ont réussi, au fil des décennies, à transformer leur combat non seulement en un faux « drame » mondial, reléguant au second plan d’autres tragédies bien réelles, mais aussi en un fardeau imposé aux Arabes et aux musulmans—et surtout en une source inépuisable de haine et de violence.
Trop d’actes de terreur et d’attentats ont été perpétrés au nom de leur prétendue « résistance ». Du 11 septembre au pogrom du 7 octobre en passant par les multiples guerres au proche orient
Aucun autre conflit dans le monde n’a autant nourri et alimenté le terrorisme.
Pourtant, ces marchands palestiniens de haine ne s’intéressent jamais aux autres drames. Prenons l’exemple de cette influenceuse, véritable porte-parole du Hamas devenue députée lfi : bien qu’elle soit née en Syrie, elle ne s’est jamais préoccupée du sort des Syriens. Pourquoi une telle indifférence ? Une telle ingratitude ?
Cette situation s’est imposée pour plusieurs raisons : l’influence conjointe de trois courants – nationaliste, communiste et islamiste – un mélange explosif qui s’est enraciné dans la rue palestinienne et a infiltré l’éducation ainsi que les institutions politiques et religieuses du monde arabe.
Cette dynamique a été portée par des autocrates – qu’ils soient dictateurs, Frères musulmans ou encore des puissances étrangères comme l’Iran et la Turquie.
À cela s’ajoute un paysage médiatique qui, au lieu de relayer la vérité, manipule l’histoire à coups de mensonges et de contre-vérités.
Tous animés par une obsession commune : la haine des Juifs.
Enfin, une instrumentalisation émotionnelle, religieuse et nationaliste a transformé cette cause en une industrie politique et économique, générant des milliards, alimentant des slogans sanglants et génocidaires, et servant une quête perpétuelle de pouvoir et de visibilité.
Ils ne cherchent pas à améliorer la vie des Palestiniens.
Ils les exploitent.
Ils les volent.
Ils les transforment en instruments de propagande, en chair à canon, en outils de haine et de terreur.
Ils les endoctrinent dès le plus jeune âge, les enfermant dans un cycle infernal de victimisation et de violence.
Selon les circonstances, la rhétorique palestinienne s’adapte : un jour, ils se proclament « honneur de la nation arabe » pour exciter la colère des peuples arabes ; un autre, « défenseurs des lieux saints » pour attiser la violence dans le monde musulman ; puis, « derniers remparts d’une terre prétendument arabe » afin de séduire les idiots utiles de la gauche occidentale – naïfs ou complices.
Il est temps d’ouvrir les yeux sur cette réalité et de déconstruire cette victimisation mensongère, savamment entretenue par les marchands de la cause palestinienne.
Leur seule production est la haine, et leur seul résultat est le chaos – y compris pour les Palestiniens eux-mêmes.