6 juin 1944 — 6 juin 2025 : Quand l’Histoire inspirait le courage, et qu’aujourd’hui elle justifie la lâcheté.
Il y a 81 ans, une coalition internationale débarquait en Normandie pour libérer l’Europe du joug nazi.
Des soldats américains, britanniques, canadiens et d’autres alliés venaient mourir sur les plages françaises pour sauver un continent de la barbarie.
Ils affrontaient le mal, au péril de leur vie.
La France, à juste titre, leur rend hommage.
Elle se souvient de leur courage, de leur sacrifice, de leur engagement.
Elle glorifie cette coalition du bien, unie contre un totalitarisme meurtrier.
Et aujourd’hui ?
Quand Israël affronte une organisation islamiste qui massacre des civils, viole des femmes, prend des enfants en otage, étrangle des nourrissons devant leur mère et utilise les hôpitaux comme bases militaires…
Quand une démocratie combat un totalitarisme armé et soutenu par l’Iran, et financé par le Qatar…
La même communauté internationale détourne le regard.
Ou pire encore : elle accuse de génocide celui qui se défend.
Elle reprend, sans scrupule, la propagande du Hamas.
Elle ne combat plus le mal : certains le justifie même.
Elle n’appelle plus à la libération des otages à Gaza : aux oubliettes
Elle condamne ceux qui veulent les libérer.
Pire encore : elle appelle à la création d’un état, comme pour applaudir et récompenser les terroristes.
Une inversion des repères
Imagine-t-on ce qu’aurait été le sort de la France si, en 1944, les Alliés avaient déclaré :
« Trop de morts civiles. Trop de destructions. Trop de risques. »
Imagine-t-on Roosevelt, Churchill ou de Gaulle demander à Hitler une « pause humanitaire » pendant le Débarquement ?
Imagine-t-on les alliés dire aux nazis, « on va reconnaître votre état après cette guerre »?
Non.
Parce que le mal devait être vaincu.
Parce que la libération avait un prix.
Aujourd’hui, ce n’est pas une coalition qui se lève.
C’est Israël, seul, accusé de faire ce que d’autres ne font plus : résister.
Et si une vraie coalition s’était levée le 8 octobre ?
Macron l’a proposé. Vite oubliée, cette proposition ne devait pas plaire aux qataris qu’il a reçu sur les tapis rouges ?
Et si le monde libre avait dit, d’une seule voix :
« Pas cette barbarie-là. Pas ce 7 octobre-là. Plus jamais ça. »
Alors peut-être que nous n’en serions pas là.
Peut-être que les Gazaouis vivraient libres du Hamas.
Peut-être que les otages seraient déjà chez eux.
Peut-être que les enfants ne serviraient plus de boucliers.
Peut-être que l’aide humanitaire ne serait plus vendue ou volée.
Mais non.
L’aveuglement est devenu doctrine
La justification
Et la propagande du Hamas
L’inversion accusatoire est devenue référence.
Pendant ce temps, le Qatar finance.
Et l’Occident, et Macron, le remercient. Béatement.