De Paris à Gaza, c’est le même discours la qui se répète. Il s’agit de celui d’une alliance entre islamistes et gauche radicale. Cette gauche et ces islamiste instrumentalisent la “cause palestinienne” pour s’attaquer à nos démocraties en Occident. En effet, derrière le keffieh et les slogans, ce n’est pas la paix qui est défendue, mais la haine, le terrorisme et l’effacement de nos libertés.
Ce que vous voyez et entendez dans cette vidéo n’est ni un délire marginal, ni un fantasme. C’est le discours assumé, sans détour, de militants islamistes et de leurs relais gauchistes en Occident.
Il ne s’agit pas de provocateurs isolés, mais d’une idéologie cohérente, portée et assumée dans nos rues, nos universités, et parfois jusque dans nos institutions.
Un projet limpide et totalitaire
Leur objectif est clair :
• Supprimer nos démocraties et notre monde libre.
• Remplacer la loyauté envers un pays par la soumission à un califat islamiste, y compris en Occident.
• Justifier la violence armée au nom du djihad ou de la “cause palestinienne”, une cause fabriquée sur des mensonges et animée par la seule haine des Juifs.
• Détruire l’Occident — l’Amérique, le Canada, l’Australie, la France… — de l’intérieur, en instrumentalisant une pseudo “justice historique” et un discours anticolonial dévoyé.
La complaisance coupable de la gauche
La gauche radicale, type LFI, mais aussi la gauche dite “républicaine” qui s’y associe pour gouverner, sert de porte-voix complaisant à cette haine.
Elle la drape sous l’étendard de la “cause palestinienne”, transformant un discours violent et liberticide en revendication prétendument humaniste.
Le keffieh comme étendard de l’ignorance
Tous ceux qui portent le keffieh dans nos rues parisiennes, sans rien connaître du sujet, se transforment en relais des islamistes et du Hamas.
Ils deviennent les vecteurs de la violence et du terrorisme, qu’ils le veuillent ou non.
Ils ne défendent ni la paix, ni la liberté, ni même les Palestiniens — dont ils sont, en réalité, les premiers ennemis.
La vérité que l’on cache
Croyez-moi : écoutez ceux qui connaissent le terrain, pas ceux qui instrumentalisent cette cause pour récolter des voix ou flatter un électorat.
Ceux qui défilent derrière ce drapeau idéologique ne défendent pas Gaza. Ils défendent la guerre, la haine, le terrorisme, et l’effacement de nos démocraties et de nos libertés.
Leur combat n’est pas pour Gaza, il est contre nous tous. Ici, à Paris.
Le test de vérité : Hamas ou Israël ?
En réalité, s’ils voulaient vraiment aider les Gazaouis, ils combattraient d’abord et avant tout le Hamas, cette organisation qui les opprime, les endoctrine et les sacrifie. Ce n’est Israël, qui, malgré la guerre, demeure une démocratie où Arabes et Juifs peuvent être citoyens, journalistes, artistes, médecins ou juges.
Le rôle ambigu du pouvoir “central”
Le plus inquiétant, c’est quand des forces dites “centrales”, comme les macronistes, reprennent cette rhétorique à demi-mots.
Avec un sourire béat et leur phrase fétiche : “On soutient Israël”.
Tu parles, Charles : dans les faits, ils reprennent la musique de ceux qui le haïssent, en adoptant leurs formulations et leurs angles, croyant calmer les extrêmes alors qu’ils les légitiment.