L’arnaque d’Emmanuel Macron et de Jean-Noël Barrot consiste à parler de « paix » matin, midi et soir… tout en promouvant un État palestinien avec ceux qui souhaitent la destruction d’Israël. Derrière cette façade humaniste se dissimulent une ignorance abyssale, un opportunisme politique éhonté, et – qu’on me permette de le dire – une soumission assumée au Qatar, ce pays qui n’a jamais voulu la paix.
Leur dernier tour de passe-passe ?
👉 Conditionner la reconnaissance d’Israël par les pays arabes à la création d’un État palestinien.
Quelle audace… ou quelle naïveté. Emmanuel Macron ferait mieux de se documenter avant de se ridiculiser.
D’abord, cela va de soi : toute initiative de paix repose sur ce principe, sinon cela ne s’appellerait pas une « paix ». Il n’a rien inventé, sinon du vent.
Comme si le monde avait attendu Macron pour découvrir ce concept ?
Soit. Passons.
Petit rappel, Monsieur le Président : cela s’appelle les Accords d’Abraham.
Ils existent déjà.
Et jamais Emmanuel Macron ne les a soutenus. Jamais. Parce qu’ils ont été impulsés par Donald Trump — oui, Trump, que l’on moque tant. Et pourtant, c’est lui qui a permis la signature d’accords historiques entre les Émirats arabes unis, Bahreïn et Israël. Un véritable vent d’espoir.
Mais ces accords, Emmanuel Macron les a ignorés. Car ils ne correspondaient pas à son logiciel idéologique. Car le Qatar les avait rejetés.
Et ce ne sont ni Israël ni les pays arabes qui ont mis cette dynamique en pause.
Ce sont les amis de Paris : les islamistes du Qatar et de l’Iran. Leur bras armé, le Hamas, a torpillé cette dynamique de paix. Ce sont eux, les véritables saboteurs.
Mais cela, Emmanuel Macron ne le dit jamais. Et il n’y a que ses groupies ignares pour croire qu’il serait un homme providentiel. Il l’est, peut-être — mais de la parole vide, et de l’opportunisme le plus crasse que la République ait connu.
Passons encore.
Quelqu’un peut-il dire à Emmanuel Macron, une bonne fois pour toutes, que le problème central n’est pas la reconnaissance par les pays arabes ?
Il n’a strictement rien compris. Rien.
Même les Syriens, au passé islamiste, seraient prêts à le faire demain.
Non.
Le vrai problème, ce sont les Palestiniens eux-mêmes, et la culture de haine, de mort, de ressentiment et de victimisation qui les imprègne. Une culture que la France entretient en finançant l’UNRWA — cette grande usine à haine.
Ils ne sont pas prêts.
Et Emmanuel Macron n’écoute rien.
En réalité, cette culture de la haine, il en porte une part de responsabilité : par complaisance, par calcul, ou par peur de contrarier l’extrême gauche française dont il épouse trop souvent les rhétoriques.
Et voilà que, déconnecté du réel, toujours souriant et hors-sol, il veut offrir un État à ceux qui haïssent, qui tuent, qui violent, qui égorgent ?
Ce n’est pas seulement une erreur tragique. C’est une incompétence diplomatique sans précédent.
Mais c’est surtout une faute politique grave — pour Israël, pour la région, et même pour les Palestiniens eux-mêmes.
Alors s’il vous plaît, M. Macron, de grâce : laissez le Moyen-Orient tranquille.
On n’a pas besoin de vos selfies, de vos postures, ni de votre diplomatie de façade. Opportuniste. Insincère.
Laissez-nous TRANQUILLES de votre incompétence. SVP.